Alors, il erra. D’univers en univers. Percutant dans sa dérive météorites, exoplanètes et … Felix Baumgartner. A chaque choc, il laissait un souvenir de son potentiel divin et l’étincelle de ce souvenir embrasait une comète. A chaque choc, un astéroïde en feu se changeait en nova.
Pendant cette chute interminable, il perdit immortalité, gloire, et ses certitudes devinrent doutes. Sa vie défilait alors devant ses yeux irréels. Il se rappela alors sa femme, les geôles et le trône.
Pendant cette chute vertigineuse rythmée de coups, de géminides et de douleurs , il éparpilla dans le ciel, milles et un secrets au contact de milles et un obstacles. Puis, il chut sur Terre sans connaissance. Sans plus aucun souvenir. S’enfonçant lourdement dans le sol, tel une lourde météorite qui laissera haut derrière elle, les traces lumineuses d’une descente saccadée et orageuse.
Mufasa, le roi Lion s’est trompé
Le Roi Lion s’est trompé. Mais lui n’était qu’un Roi. Une étoile qui brille, ce n’est pas un monarque qui contemple du haut de sa sagesse, ceux-là qui sont en vie et perdus. Non.
Quand dans un ciel foncé
densément bleuté
brille une étoile au loin
C’est parce qu’elle renferme
l’éternel secret
d’un attribut divin.
Ceux qui veulent entreprendre de Grandes choses, doivent viser les étoiles Point. Il ne peuvent se contenter de les contempler tel de stupides félins imaginaires. C’est une question de survie: Mufasa!
Ceux qui veulent entreprendre de grandes choses, peuvent remonter les pas de Saturne, viser les étoiles, se confronter à leur éclat puis récupérer en chacune d’elle une partie d’un secret divin.
Saturne a échoué. Puis un jour il est tombé. Mais Saturne s’est relevé.
Comment se relève t-il d’autant d’épreuves, est ce que raconte L’âge d’or du Phénix : la troisième partie de ce conte pour les futurs grands entrepreneurs.